Témoignage Lipoaspiration

Lipoaspiration des hanches et du ventre sous anesthésie locale

Témoignage de Mohammed


Mohammed est venu spécialement de Dunkerque pour se faire opérer par le docteur Amaris.
En route pour une lipoaspiration des « poignées d’amour » et de son « petit bidon » !
 
Avant-Apres Sylvie Amaris paris 16 
 

Mohammed a 30 ans et il sait ce qu’il veut.
Son envie : avoir un ventre plat et une taille marquée.
Son angoisse : l’anesthésie générale… être totalement endormi.
Son challenge : faire son opération esthétique sous anesthésie locale, malgré la douleur…

 

 

Mohammed, ce n’est pas courant pour un homme de parler chirurgie ? Je ne suis pas d’accord avec vous. Je trouve qu’il y a de plus en plus de demandes, et de plus en plus régulièrement à ce que je vois en regardant sur certains sites de chirurgie.Les hommes aussi ont besoin de se sentir beaux ! Pourquoi une lipoaspiration des hanches et du ventre ?J’étais en surpoids pendant mon adolescence.Maintenant j’ai changé : je suis bien svelte, mais j’avais encore des « poignées d’amour » et le ventre était encore proéminent.Aujourd’hui je fais 75 kilos pour 1 mètre 77.Plus jeune, à l’âge de 15 ans, je pesais plus de 80 kilos mais il faut considérer qu’à l’époque j’étais bien plus petit !J’étais « bouboule » et je me sentais hyper mal dans ma peau.Alors j’ai décidé de faire un régime tout seul, parce que j’estime que c’est important de se sentir bien.Je me suis dit : « il faut que je perde du poids ! » et j’ai perdu à peu près 25 kilos.

Mon programme était simple : je faisais attention à la nourriture et je faisais de l’exercice : course à pied et sport en salle (musculation).
J’ai eu un déclic. Je me suis motivé tout seul et ma perte de poids s’est faite sur plusieurs années.

J’estime m’en être plutôt bien sorti car malgré un gros surplus de poids perdu, ma peau n’était pas pendante. Elle est restée élastique, d’où l’intérêt de faire cette opération le plus tôt possible dans ma vie d’adulte.


Comment avez-vous rencontré le docteur Amaris ?

J’ai cherché un chirurgien sur Paris car j’en voulais un ayant une bonne réputation.

Je suis tombé sur le site du docteur Amaris. Elle m’a semblé être une femme sérieuse et elle a de bons avis sur Google, alors j’ai pris rendez-vous.
J’habite à Dunkerque et ici les spécialistes ne sont pas nombreux. De plus, j’avais déjà consulté un médecin en 2011, mais je n’avais pas eu le « feeling » avec lui.

J’ai envoyé un mail au docteur Amaris et elle a répondu à toutes mes questions avec beaucoup de patience (rires).Mon idée c’est que les femmes sont plus minutieuses que les hommes, alors pour l’opération que je souhaitais, je préférais que ce soit elle.Comment s’est déroulée la consultation ?Je suis venu à Paris. C’était en mars 2021.

Nous avions déjà échangé par mail, alors la consultation s’est passée rapidement.
Elle a répondu à toutes mes questions et ses explications ont été claires. J’ai trouvé son tarif normal et je vais même vous confier que je l’ai trouvée abordable pour une ville comme Paris !

Au début, elle ne voulait pas m’opérer et c’est moi qui ai insisté.
Je ne voulais pas faire d’anesthésie générale car je ne supporte pas d’être endormi artificiellement.
J’ai demandé à faire le ventre et les hanches sous anesthésie locale.
Elle m’a prévenu que ça allait être douloureux, mais la partie post-opératoire avec le réveil agité et les douleurs me font trop peur.

Et oui… puisque vous me posez la question Sylvie était un peu retard pour notre rendez-vous mais je crois que c’est normal ! (rires)Comment s’est déroulé votre intervention  ?

À titre personnel, j’aurai aimé faire en anesthésie générale, mais comme je vous l’ai dit, je garde un très mauvais souvenir de la seule que j’ai eu dans ma vie.

Je suis resté complètement éveillé durant mon opération chirurgicale et j’ai pu tout voir et tout entendre.
Je discutais avec le docteur Amaris, j’ai papoté avec elle de tout et de rien…
Ça m’a permis de penser à autre chose car je sentais comme des coups de bâtons dans mon corps dus aux va-et-vient de la canule pour pratiquer la lipoaspiration

J’ai eu quand même peur - comme ça aurait été le cas pour beaucoup de monde - mais j’ai pris sur moi. Parfois ça faisait très mal, mais j’ai assumé de ne pas vouloir cette anesthésie générale.Malgré l’anesthésie locale, certaines zones n’étaient endormies complètement car il y avait trop de graisse.L’anesthésie traite une zone ciblée et le docteur ne pouvait pas dépasser une certaine dose.Elle m’avait prévenu …Je ne pense pas avoir plus de résistance que le reste de la population, mais j’étais super motivé.L’opération a duré 15/20 minutes, mais ça m’a paru plus long en raison des douleurs.Et que s’est-il passé après l’opération ?Je suis remonté en salle d’opération et je suis parti 30 minutes après.J’ai pu marcher directement et suis rentré le jour même à Dunkerque en train.J’avais des points de suture au niveau des incisions sur le ventre et les hanches : 6 au total.Ça tirait un peu quand je marchais, mais je me sentais très bien globalement.Comment s’est passé le suivi avec le docteur Amaris ?

Pour le suivi, je ne suis pas revenu sur Paris, nous avons pu faire cela en vidéo consultation.

J’avais des points résorbables, mais l’un d’eux sortait alors avec les conseils du docteur Amaris, je l’ai retiré moi-même en tirant dessus !Sylvie Amaris a bien répondu à toutes mes questions, comme d’habitude.Je suis ensuite revenu en novembre à Paris pour faire une retouche sur les hanches, car je voulais que ce soit encore plus « sec ». Il restait encore un peu de gras de mon point de vu, mais le docteur Amaris préfère proposer une seconde opération, plutôt que de trop « creuser » la peau et que l’effet ne soit pas naturel ou irréversible.Avez-vous bien cicatrisé de cette opération esthétique ?Oui, ça fait un mois désormais.Les cicatrices sont un peu foncées. Le docteur Amaris m’avait dit que ça allait prendre du temps, mais que ça finirait par passer.Bon, j’avoue que j’ai aussi regardé sur internet comme le font tous les patients !Mes cicatrices sont petites et elles font entre 2 et 3 millimètres. Bien sûr je suis impatient que ça parte, mais ça ne me dérange pas plus que ça.Je vois bien le changement depuis ma première opération, mais pour le moment, je ne vois pas de grand changement depuis la seconde « opération-retouche ». Normal… il faut attendre entre 3 et 4 mois pour que les œdèmes disparaissent complètement.

Quelle sera le mot de la fin pour vous Mohammed  ?

À une personne qui est mal dans sa peau et qui hésite à se faire opérer, je voudrais lui dire que le jeu en vaut la chandelle. Quand on ne se sent pas bien, il faut se faire opérer.
Mon entourage n’a pas forcément remarqué ma chirurgie esthétique. Cela reste très discret.
Pour moi le but était qu’on ne se pose pas de questions sur mon amincissement ciblé.
Je veux rester discret car c’est un acte que j’ai fait pour moi. Je me sens tellement mieux et ça a été un grand changement positif.

Je voudrais ajouter que je respecte beaucoup le docteur Amaris.
J’en garde une bonne image, j’ai apprécié son franc-parler.
Le docteur Amaris, c’est une belle rencontre dans ma vie et tout s’est bien passé pour moi.
Je l’aime beaucoup, c’est une personne gentille. Elle a été à l’écoute tout au long du processus.
Ça ne sert à rien de chercher plus loin, vous ne trouverez pas une chirurgienne plus honnête, croyez-moi !

 

 Propos recueillis par Nelly Portal